Le président de la Fédération camerounaise de football Samuel Eto’o, après avoir décidé unilatéralement de mettre fin à la collaboration avec Le Coq Sportif, est en discussion avec trois marques. Et pas des moindres.
Selon les informations de Jeune Afrique, Samuel Eto’o, qui est en première ligne sur ce dossier, aurait retenu Nike, Adidas et Puma. Il s’agit en effet des trois plus prestigieuses marques du secteur. Puma serait même en pôle d’après nos confrères.
« L’équipementier allemand a en effet équipé les sélections camerounaises de 1997 à 2019, date à laquelle Seidou Mbombo Njoya, l’ex président de la Fécafoot avait annoncé la fin d’un long partenariat, faute d’avoir pu trouver un accord de prolongement du contrat », rapporte Jeune Afrique.
Cette séparation pourrait donc ne pas être définitive. Samuel Eto’o, qui fût l’ambassadeur de la marque pendant de longues années lorsqu’il jouait au Real Majorque, au FC Barcelone ou à l’Inter Milan, ayant conservé de solides relations avec des cadres de l’entreprise.
C’est en effet le 2 août dernier que la Fécafoot a fait savoir qu’au terme de l’appel à candidature lancé pour le recrutement d’un nouvel équipementier, trois offres sur dix ont été retenues. Celles-ci vont être soumises à l’arbitrage du Comité exécutif. Le nom du successeur de Le Coq Sportif sera ensuite communiqué prochainement.
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Mbombo Ndjoya n’a pas rompu le contrat avec PUMA. Ce contrat est arrivé à expiration sous la présidence de Me Happy (représentant de Samuel Eto’o). A l’époque, une agence Nigériane contractée par le comité de normalisation a laissé miroiter la perspective du contrat du siècle avec NIKE, et finalement, ça ne s’est pas fait, et la Fecafoot s’est retrouvée sans équipementier.
Seidou a signé en catastrophe avec Le Coq Sportif à son arrivée pour éviter à nos filles d’aller à la Coupe du Monde en France sans équipementier, PUMA ayant alors fait une offre de renouvellement ridicule.
SEF est donc une sorte de pompier pyromane dans ce cas précis.