L’auto-proclamé meilleur joueur africain de tout temps aurait désormais mailles à partir avec la justice américaine. Les mouvements d’argent semblables à des mouvements illicites de et vers les comptes appartenant à Samuel Eto’o Fils, commenceraient à préoccuper. Les services d’investigations des Etats-Unis ne sont alertés que lorsque des preuves pouvant être considérées comme solides, sont ajoutées dans un dossier. Cette fois-ci, les sources semblent concorder. Washington serait entré dans la danse. Jamais Ballon d’Or du football mondial, 4 fois celui de l’Afrique, il entre dans le panthéon de celui de la distraction des fonds.
C’est avec l’agent de match Joe Kamga que Samuel Eto’o avait négocié la rencontre amicale entre le Mexique et le Cameroun. Avec toutes les irrégularités qui ont dévoilées autour des paiements, l’agent FIFA aurait été auditionné par le Department of Justice (DOJ) américain. L’affaire aurait été transmise à la direction criminelle du DOJ avec l’appui du FBI et de l’IRS (Internal Revenue Service).
Samuel Eto’o, Ballon d’Or de la distraction, plus talentueux dans la quarantaine que dans la vingtaine
Au Cameroun, le parti-État, le RDPC, protège jalousement Samuel Eto’o. Ce pays, géré par une minuscule bande de copains, n’a que faire des détournements de fonds. Ses dirigeants sont des habitués de cet état de fait.
Le “schéma” de Samuel Eto’o, Ballon d’Or des détournements de fonds est désormais connu. c’est lui, et non son Secrétaire Général, pourtant le Chef de l’Administration de la Fécafoot qui octroie tous les contrats. C’est encore lui, qui signe les contrats. Et c’est dans ses comptes personnels, ou les comptes de ses proches que les frais de match de la Fécafoot sont viré. Ainsi donc, ce stratagème s’est vérifié entre 2022 et 2024 lors d’au moins quatre matchs amicaux internationaux des Lions Indomptables.
Et alors que les partenaires règlent intégralement les frais de participation du Cameroun (hôtels, transports, primes), Samuel Eto’o demande pour les mêmes frais des budgets conséquents au gouvernement. Et là encore, il frappe les sous de l’État, l’argent qui aurait pu servir pour soigner les malades.












