On a beau s’efforcer à rester objectif; à ne paraître donner de la préférence à aucun des deux événements célébrant la fin de carrière de trois de nos illustres footballeurs, rien n’y fait. La réalité des festivités telle qu’elle s’est déployée ici et là, a déroulé à nos yeux, un effarant contraste de style et de méthode. Et se taire ou faire semblant d’applaudir à la réussite de l’un tout en raillant l’approximation de l’autre relève de l’hypocrisie.
Véritablement il y a eu d’un côté, un jubilé d’indigence et de l’autre un jubilé de faste. Le dire ne serait faire outrage à personne. Simplement, les deux événements ont malencontreusement été enfermés dans une concomitance de dates. C’est à croire qu’au Cameroun, il faut définitivement désespérer de toute organisation cohérente. Ce qui pour notre malheur, vient de nous faire perdre deux célébrations d’importance qui autrement, auraient encore eu plus d’écho que ce qu’il en est.
Mais au fait, comment en est-on arrivé à subir deux jubilés qui se chevauchent et s’entrecroisent le même mois? N’y avait-il pas possibilité d’en appeler à la raison des uns et des autres étant entendu que les ex joueurs à l’honneur ont gardé dans nos cœurs la même côte de popularité? Peu importe de savoir qui le premier a eu l’idée d’organiser la fête de sa fin de carrière et s’en est ouvert aux autorités pour facilitation. Il y avait à partir des intentions exprimées des uns et des autres, toute la vraie place de la tutelle sportive pour encadrer et suggérer des solutions, planifier et ordonner des programmes et pourquoi pas, proposer s’il y avait persistance des malentendus, un calendrier accommodant pour les parties engagées. Au lieu de quoi, c’est à un malsain ponce pilatisme auquel nous avons eu droit de la part des autorités sportives. Sans véritablement le dire, elles ont laissé se diffuser dans l’air, le soupçon d’une préférence, d’une discrimination et même d’une prééminence que peut-être leur imposait selon leur interprétation (mais si, mais si, c’est comme cela que ça se passe au Cameroun) le parrainage du chef de l’Etat à l’égard d’un des jubilants.
Pas du tout en reste et exempt de reproches, le comité d’organisation du jubilé des frères Biyick. Lequel comité n’a pas semblé prendre la pleine mesure de l’événement en rapport avec la notoriété de nos deux ex lions. Sauf volonté contraire expresse de ces deux monstres sacrés de l’histoire du football camerounais, il n’y avait aucune modestie à se faire dans la préparation de leur fête. Pour avoir tous les deux bourlingué aux quatre coins de la terre, foulé tant et tant de pelouses, impressionné de nombreux publics et de coéquipiers, il y avait mieux à nous offrir que cette histoire de retrouvailles entre vieux lions bedonnants autour d’une randonnée villageoise. A défaut d’amis lointains à inviter, il y avait tout à côté, des frères nigérians, sénégalais, égyptiens, marocains, ivoiriens et j’en passe qui auraient par leur seule présence donné plus de relief à la fête.
Non,on a du mal à croire comme veut le laisser penser leur fête, qu’ils brillaient dans le vide. Et du coup aussi, la parade des Milla, Womè, Eto’o semblait plus procéder d’un rattrapage que d’une réelle implication longtemps mitonnée à l’avance. Ce qui louons-le est tout à leur honneur et à notre plaisir certes mitigé. Toutes les explications du monde ne suffiront pas à valider le pauvre casting que ce jubilé nous a offert. Et qu’on se le dise bien, le piment d’un jubilé et son attractivité, sont les guest stars qui accompagnent la vedette du jour vers la fin de sa carrière.
BARCA-ARSENAL: Les coulisses
J ‘ai écouté la vidéo de Henry sur SPORT365.fr, je pense que ce gars est nul et pas du tout fair play.
Il pleure comme un gosse. Il omet de dire que la faute commise sur Eboué qui a ammené le coup franc qu’il a tiré et Campbell a marqué, n’était pas réelle. Eboué a plongé et a trompé l’arbitre, tout le monde a vu.
Est-ce l’arbitre qui lui a demandé de rater tous ces face-à-face (trois au total) devant Victor Valdes. Est-ce l’arbitre qui a demandé à JENS LEHMANN d’attraper le pied d’ETO’O.
Est-il sûr qu’à 11 contre 11 mais avec le but de GIULY validé, Arsenal pouvait vaincre le Barça!!! Impossible.
Il parle qu’il a pris de mauvais coups; est-il le seul à en avoir pris durant ce match?. Qu’il cesse de ce plaindre comme un gosse à qui on à refusé un jouet et qu’il ait le mérite de féliciter ses adversaires qui ont été plus bons que lui.
D’ailleurs, c’est ETO’O qui a été élu l’homme du match et non HENRY; pas parcequ’il a marqué le but, mais pour l’ensemble de sa prestation pendant la rencontre; qu’à fait Henry de spectaculaire ou d’efficace, RIEN au cours du match. Qu’il accepte donc qu’il est honteusement passé à côté de ce match au lieu d’accuser bêtement l’arbitre.
En plus Henry à la mémoire très courte : qu’il se souvienne bien du but qu’il a marqué face au Cameroun en Finale de la Coupe des confédérations en 2003. Il était plus hors-jeu, plus que l’action d’ETO’O du mercredi dernier.
Finalement, c’est un petit attaquant cet Henry, qu’il rentre dans les couches de sa maman et murisse encore car il devrait comprendre que le très haut niveau ne pardonne pas.
BARCA-ARSENAL: Les coulisses
Cameroonians welcome President Biya with tomatoes and eggs
By Ngwasiri Cle. Looking back to that great history revolution which will continue in Yaounde during the convention…
On 10th March, Cameroonians living in the UK braved the winter cold to express our disgust with Paul Biya, the man who has brought tyranny and frustration to millions of Cameroonians.
You would imagine that a visit by a Head of State to a world political capital like London is a lionizing thing. If he commands respect, you would imagine the publicity such an event would attract. The national press would report it widely, nationals and foreign friends will flank the venue to give the dignitary a warm welcome. The occasion will warrant speeches, handshakes and wide smiles. This is not exactly what happened when President Paul Biya visited London.
Biya’s visit to London was little known and was kept as quiet as possible. No mention of it was made in the British media but information filtered amongst Cameroonians that he was due to be paying an official visit. You can imagine the feelings it arose in the Cameroonian community living in London. Hundreds of Cameroonians from cities across the UK gathered outside 10 Downing Street to express their anger. Protestors came armed with placards and banners reading : We demand that Cameroon should abide to international treaties, Stop the killing of innocent Cameroonians, tyrant, dictator, oppressor, election rigger, twenty-two years in power, resign, Cameroonians are dying. The chants included : “Blair, give the dictator legitimacy”, “Give Biya arms to kill Cameroonians”, “Blair, Learn how to rig elections from Biya”.
The police struggled to contain the crowd and as the Biya entourage drove out of No. 10 Downing Street onto White Hall, the demonstrators, screaming at the tops of their voices – “Biya, Dictator” – pelted the car with tomatoes and eggs. There was no arrest, no one was hurt ; we just exercised our right to demonstration against a dictator.
I talked with anger into a camera, taking off my hat and gloves, showing scars from injuries, which I sustained as a Student Leader of “Parlement” during the 1990s. Beaten, battered and maimed while in Cameroon. I am bitter and if given the opportunity, I will never hesitate to expose the Biya Regime that has made our beloved country a misery to millions of Cameroonians.
The Claridges Hotel where Biya is residing was the scene of phase two of the demonstration. On arrival at the Hotel, we found his limousine parked out in the car park, smeared with tomatoes and eggs. Protestors entered the hotel, went straight to the bar and ordered drinks. When the bill is presented, the waiter is told to go and ask Paul Biya to pay for the drinks. He said he did not know who Biya is. He was told that he is the President of Cameroon who has been stealing money for over twenty years now.
Biya received a festive welcome from Cameroonians living in the United Kingdom. I think his time is running out.
BARCA-ARSENAL: Les coulisses
Excusez-moi, j’aime beaucoup Camfoot, mais, j’ai du mal à voir « les coulisses » que le titre de l’article nous annonce! Esso’o alors?
BARCA-ARSENAL: Les coulisses
http://henry.afrikblog.com
Douala veut jouer en France
Douala veut jouer en France
L’attaquant camerounais du Sporting Portugal, Douala aimerait poursuivre sa carrière en France même si West Ham est sur les rangs. « J’aimerai revenir en France, j’ai grandi à Saint-Etienne, j’ai de la famille et des amis là-bas mais je doute que les clubs français aient les moyens de m’enrôler ».
PS : Suivez le guide!
BARCA-ARSENAL: Les coulisses
Merci à CAMFOOT pour ces « coulisses ». Merci également aux organisateurs qui ont tout prévu, permettant à Samuel Eto’o de venir gagner son affaire et de rentrer avec à Barcelone et à New-bell à Douala, capitale de la province du Littoral du Cameroun.
Honte à Thierry Henry qui a perdu sur le terrain, devant son public français de surcroît, et qui raconte des conneries. Qu’il le veuille ou non, Samuel Eto’o est le meilleur. Henry en est tellement conscient qu’il a désisté dans son projet d’aller jouer au Barca où il serait locataire de l’indésirable banc de touche.
Thierry Henry n’a-t-il jamais marqué un but sur hors-jeu ? Même si cela peut arriver au profit de tout attaquant, celui que Samuel Eto’o a marqué le 17 mai au stade de France ne l’était pas.
Arrêtez ce débat inutile et que vive le camerounais Samuel Eto’o Fils.