This scribe hates to remind his select readers that he told them so. Far from gloating, which would be in order, I lament the sorry episode we are living through at the Fecafoot. We are reaching new lows both in terms of government support to public institutions and individual sense of public duty. The Government is failing Mr. Mbombo Njoya. Miserably. Should I remind the whole nation that the person who was elected to the top job at the Fecafoot is unequivocally Mr. Mbombo Njoya? He now sits in that chair. His rules should prevail. Period.
I did caution against a mandated forced marriage between Mr. Mbombo Njoya and General Semengue. Nobody seems to have heeded my numerous caveats. The duly elected CEO of our football governing body is now the favourite whipping boy for every self-anointed TV pundit and has-been ballplayers, and the Government is demanding that he should blink first. The result is shameful. At this day and age, our nation has no credible organized football being played.
Why is it that in this country we are loath to support our national institutions and cannot give the legally elected officials the authority they need to do their jobs? Second-guessing Mr. Mbombo plainly undermines not only his authority but also the very credibility of the Fecafoot. That is counter-productive and despicable.
Now I ask this: is there no level-headed person of influence on the land who could call on the other side of the two solitudes to consider stepping back a little bit, just to allow football to regain a fair measure of normalcy? Just for the sake of personal responsibility, public duty and care for the national interest, the onus is on the other side to blink first.
Léon Gwod
Sipandang
Je suis content pour Emerse Fae. Je suis vraiment content pour lui. Je suis content pour le parcours qu’il réalise et je remercie les ancêtres de lui avoir ouvert ce chemin. Je remercie Emerse d’avoir su à ce point contrarier ses incompétents de dirigeants qui, il faut le dire ne l’ont pas nommé en 1er choix, mais par défaut. En effet, si la FFF aujourd’hui dirigée par un africain d’origine ne s’était pas opposée, c’est hervé Renard qui remplaçait Gasset. Si cette nomination était passée, ça aurait été la phase la plus achevée de la démonstration de l’incompétence des dirigeants ivoiriens. Quand Gasset part, son successeur n’a plus rien à perdre. Dans des situations comme celles là, même le plus con des nuls sait que le pouvoir doit être remis à un enfant du pays. Les imbéciles (je ne pense que le mot traitres leur irait mieux) de dirigeants ivoiriens ont fait l’impensable. Si Hervé Renard était venu et était éliminé dès le match suivant, ça ne lui aurait retiré aucun point dans sa réputation. Tout le monde aurait dit, c’était écrit d’avance. Par contre s’il avait juste passé un tour et à fortiori fait le parcours actuel de Emerse, tout le monde, avec le gros appui des médias français présents en Afrique bien sûr auraient crié au génie.
Dans des positions comme celles là, la seule décision viable était de nommer un enfant du pays. C’était vrai pour tout le monde, sauf pour les abrutis de dirigeants ivoiriens qui sont le copié collé parfait des autres dirigeants des pays de l’Afrique francophone. Triste!!
« Emancipate yourself from mental slavery. None but ourselves can free our mind » Bob Marley. Reste confiant mon frère. Ça viendra.
J’espère, je souhaite que Emerse finisse le travail dimanche.
Moi Emerse, après la can, si les dirigeants ivoiriens me proposent un contrat, je leur conseille calmement, mais fermement d’aller chercher un français. Ils sont pleins au chômage qui se feraient un plaisir de venir se faire un argent facile en Afrique, la terre conquise