Ce n’est que logique car nous vivons dans un État de droit. Notre UMS, où plus encore UMS du Cameroun ne fait qu’entrer dans ses droits. En plus de ce tort réparé, il faut signaler avec force l’autre préjudice subi par ce club par le consul équatorial à Douala au regard du retard criard dans l’établissement des simples visas pour y aller livrer un match continental sous l’égide de la CAF. Nous osons croire que c’est une autre réserve que l’UMS ou le gouvernement camerounais (Fécafoot) devrait déposer sur la table de la CAF afin que ce genre de dérapage, de déviance ne soit plus au quotidien et vécu par (...)